Qui n’a jamais connu la soif du désert ne peut saisir toutes les merveilles de l’oasis.

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Qui n’a jamais connu la soif du désert ne peut saisir toutes les merveilles de l’oasis.
Parce qu’elle est investie de trop d’espérances, on refuse de savoir que la nativité annonce bien des désillusions.
La main ne modèle pas seulement la glaise au tour du potier.
Elle est la première pétrisseuse de notre cerveau.
Porteuse de l’exigence forte du respect de l’autre, la laïcité n’est pas simplement une posture individuelle, mais l’affirmation par la loi que nulle religion, nul parti ne peuvent être interdits, si ce ne sont précisément celles ou ceux qui prétendent imposer ou interdire une croyance ou une opinion.
Il fut un temps où, chaque jour, on guettait le képi du facteur qui portait le journal.
Le monde entrait alors dans la maison avec les odeurs de saison.
Parfois la mort était présente dans les plis d’une lettre, mais chaque jour on espérait une bonne nouvelle.
Nul ne peut contester l’élégante beauté de la jeunesse, ni son insouciance. Dommage qu’elle ait parfois des difficultés à savoir séparer la violence et l’amour, la brutalité et les élans de générosité.
Le pouvoir divin que les icônes exercent sur tant de femmes et tant d’hommes, tient-il à la beauté des images, à la crédulité du genre humain, ou à l’impuissance de l’humanité à maîtriser ses propres créations ?
Les habitudes héritées de l’enfance sont les plus difficiles à abandonner. Les défenseurs de tous les dogmes l’ont bien compris.
Au temps des gazettes, l’argent n’avait pas encore mis aux fers le monde de la presse écrite.
Il y a souvent plus de vérité dans une fable que dans un discours savant. Et cette vérité y est toujours bien plus agréablement accessible.